« Un bébé seul n’existe pas » (Winnicott): un bébé ne peut exister et se construire qu’à travers le lien à l’autre: il s’agit d’une coproduction entre le bébé et l’adulte à travers les interactions…
« Un bébé seul n’existe pas » (Winnicott): un bébé ne peut exister et se construire qu’à travers le lien à l’autre: il s’agit d’une coproduction entre le bébé et l’adulte à travers les interactions…
L’enfant va pouvoir appréhender la question du temps et sa construction de façon très progressive, en s’appuyant sur des points de repères qu’il trouvera à travers les différents rituels qui ponctuent son quotidien.
Voici ma poutre du temps mise à jour pour l’année 2015-2016 (toujours téléchargeable gratuitement). Suite à de nombreuses demandes, notamment d’enseignants, je vous propose ici une version de septembre à septembre, pour s’accorder sur le rythme de l’année scolaire.
La version française du livre intitulé « The Whole-Brain Child » vient (enfin) de sortir en version française le mois dernier, sous le titre « Le cerveau de votre enfant », aux éditions « les arènes »:
Vous pouvez actuellement retrouver le hors-série n°5 de KAIZEN intitulé « Pour une enfance joyeuse, le bonheur appartient à ceux qui l’apprennent tôt« en kiosque, librairie et sur le site de KAISEN.
La méditation de pleine conscience peut se définir comme une « pratique » permettant d’être davantage à l’écoute de son corps et de son esprit. Il s’agit de ramener notre attention vers ce que nous ressentons dans l’instant, en accueillant et en acceptant les sensations qui se présentent à nous, avec bienveillance. Le but étant d’être davantage présent à soi et au monde qui nous entoure.
Pour mieux comprendre et accompagner les enfants dans la gestion de leurs émotions, il me semble essentiel de connaitre la façon dont se développent les différentes formes de compétences dans le cerveau humain:
Lorsque j’explique autour de moi ne pas être favorable à une éducation fondée sur le sacro-saint principe des punitions et des récompenses, autrement dit du bâton et de la carotte, je perçois bien souvent l’incompréhension et le désaccord de mes interlocuteurs.
Il s’agit d’une question essentielle à traiter, tant elle est sujette à de fausses idées. Tout un tas d’inepties sont véhiculées sur cette question du « laisser pleurer bébé », bien souvent par des personnes de l’entourage proche voire même parfois par des professionnels de la petite enfance, insuffisamment formés et/ou mal documentés. Ces fausses idées sont la conséquence de l’ignorance et/ou de l’habitude.
Voici une petite brochure illustrée, téléchargeable gratuitement, diffusée par « la maison de l’enfant » et rédigée par Catherine Dumonteil-Kremer.